samedi 28 mars 2009
mercredi 25 mars 2009
Ecriture instantanée
Et d’un pas, d’un seul, j’avance, ne recule point, jamais n’abandonne, j’erratique la concurrence, la détruit, lui insuffle le désespoir et lui annihile d’un seul coup de poing le souffle dont elle est pourvue. Et d’un coup PATATRAC!!! Tout s’écroule, puis se reconstitue, tout se métamorphose pour que je ne puisse plus jamais me relever.
La rivalité s’oppose à moi, je ne sais que faire, je sais que je ne peux pas perdre, cependant mes chances d’écraser et de réduire en poussière l’ennemis sont faibles, je suis perdu, la confiance n’est plus mienne et une seule chose m’importe finalement: embrasser avec tendresse la victoire pour enfin connaître le repos.
J’en viens donc à la conclusion que le sentiment de haine est bien plus créateur que l’amour, détruisant sur son passage tout les sens niais et formateurs qui nous entourent. La destruction transforme et sublime par son désordre le monde qui nous eûmes englobé, il permet la reconstruction telle que nous la souhaitons réellement, et dans le cas ou notre souhait ne saurait se réaliser, la surprise nous reconstruit.
Je suis déterminé à écraser d’un pas sûr tout ce qui m’entoure, ma conscience me quitte, je suis tout d’un coup libre comme l’air et décide de donner un deuxième souffle au vortex d’où l’Art tire ses sombres merveilles, j’écrase d’un poing déterminé l’espoir sans issue dont le monde est pourvu, je marche et écrase, sans laisser une seule chance à tout ces pauvres imbéciles.
J’ai une fâcheuse tendance à vouloir escalader un mur, ce que j’arrive à faire avec vitesse et envie, seulement je ne prend pas le temps de le redescendre avec méthode, afin d’en tirer la satisfaction tant recherchée, en effet je m’écrase au sol avec violence, par conséquent la douleur subie laisse entrevoir l’insatisfaction chronique qui est mienne. Cependant je m’efforce de garder espoir d’un façon peut commune; La douleur me doit être salutaire et je dois m’en inspirer.
La rivalité s’oppose à moi, je ne sais que faire, je sais que je ne peux pas perdre, cependant mes chances d’écraser et de réduire en poussière l’ennemis sont faibles, je suis perdu, la confiance n’est plus mienne et une seule chose m’importe finalement: embrasser avec tendresse la victoire pour enfin connaître le repos.
J’en viens donc à la conclusion que le sentiment de haine est bien plus créateur que l’amour, détruisant sur son passage tout les sens niais et formateurs qui nous entourent. La destruction transforme et sublime par son désordre le monde qui nous eûmes englobé, il permet la reconstruction telle que nous la souhaitons réellement, et dans le cas ou notre souhait ne saurait se réaliser, la surprise nous reconstruit.
Je suis déterminé à écraser d’un pas sûr tout ce qui m’entoure, ma conscience me quitte, je suis tout d’un coup libre comme l’air et décide de donner un deuxième souffle au vortex d’où l’Art tire ses sombres merveilles, j’écrase d’un poing déterminé l’espoir sans issue dont le monde est pourvu, je marche et écrase, sans laisser une seule chance à tout ces pauvres imbéciles.
J’ai une fâcheuse tendance à vouloir escalader un mur, ce que j’arrive à faire avec vitesse et envie, seulement je ne prend pas le temps de le redescendre avec méthode, afin d’en tirer la satisfaction tant recherchée, en effet je m’écrase au sol avec violence, par conséquent la douleur subie laisse entrevoir l’insatisfaction chronique qui est mienne. Cependant je m’efforce de garder espoir d’un façon peut commune; La douleur me doit être salutaire et je dois m’en inspirer.
lundi 9 mars 2009
lundi 2 mars 2009
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